Je panse tes plaies qui saignent de douleur mortifère à cause de mon affreuse arrogance d'homo sapiens de néanderthal que tu ne peux même plus voir en portrait;

Mais je pense aussi à l'erreur que je n'ai pas encore faite mais qui ne saurait tarder à être dévaliser sur l'autel de nos espérances déifiantes mais effrayantes, quand on ne peut assouvir l'AMOUR, et quand le terrier du loir qui veut se cacher pour ne pas affronter ton monde plus conjoncturel que le tien à moi se meurt;

Au fond, je pense à cet arbre que j'ai toujours voulu planter en ton bras; comme un poil planté en terre aurait du mal à nourrir la petitesse de son esprit, l'arbre pourrait vivre; et là le danger commence à effleurer le vent d'ouest; l'anticyclone des Açores ne me sort pas de ton problème; relève tes cheveux, rassemble tes yeux et marche en arrière pour rejoindre l'autre qui n'est plus moi, je reviens en avant et je ne t'attends plus. Je suis bien avec mon toi.