- Le poème n'a pas encore été validé par un modérateur.
Djerba, au Marhala d'Houmt Souk 14 avril
...
Tôt au petit matin ou trés tard dans la nuit
Nous arrivons devant une grande porte fermée
Personne n'a encore vu les heurtoirs de bronze
A cinq heures vingt retentit le muezzin
Je réalise alors que je suis en Tunisie
Et que je dors dans un caravansérail
Dans notre petite chambre minuscule
Il y a un grand lit pour une personne
Que nous partageons Colette et moi
Nous sommes à l'étage blanc bleu
Au-dessus de la cour aux bougainvillées
A l'opposé du ciel les briques sont de terre rouge
Sur la route et jusqu'en son milieu
Nous croisons des enfants par petits groupes
Insouciants ils s'en vont vers l'école
Ils sont habillés de sombre
Seules quelques jeunes filles sont voilées
Certains nous saluent et nous sourient
A Ajim nous attendons notre tour pour monter sur le bac
Chassé croisé entre île et continent
Nous quittons Djerba la blanche
NDV. 22-04-08
Écrit par calsior
A qui la poursuit
la luciole offre sa lumière ! ôtomo Oemaru Catégorie : Divers
Publié le 24/04/2008
|
Poème Précédent | Poème Suivant |
Divers à découvrir... | Poèmes de calsior au hasard |
Annonces Google |
beau carnet de voyage ! | |
Alexandre-glaucos |
Merci Alexandre, je vais mettre la suite. | |
calsior |