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Je me sens dépossédée
Plus âpre par la racine,
Aussi sèche qu'un caillou :
Mais qui suis-je donc ?
Amas de pensées qui tourbillonnent,
Qui viennent me hanter
Souvenirs d'autrefois qui poussent la porte de la mémoire
Et y font leur rentrée fracassante ...
Peu m'importe tous ces fantômes
Qui ressurgissent de nulle part
Je sens monter en moi une terrible détermination
UNE FAROUCHE VIOLENCE TUE,
Nulle dérision cette fois,
Nul sentiment de folie imminente,
Juste l'impression calme d'un
Sentiment puissanbt du vrai
Qui s'exprime par ma plume
Comme si ...
L'INSTANT DESIRAIT ME PARLER.
Tout à coup, j'hésite
Je rature, tu n'es plus là, tu te
Dérobes, puis tu reviens, tu te joues
De moi ... Je n'essaie plus de te
Retenir, je n'essaie plus rien d'ailleurs
Je me contente d'écrire sous la dictée.
Peu m'importe ce qui se lit
Seul importe la vérité de cet
Instant où se capte une
Eternité dans quelques mots.
C'est peut-être vide tout ça.
Aprés tout, il n'y a peut-être rien
Dans ce tourment de logorrhée
Rien qu'une furieuse envie de poser ?
juin 2003
Écrit par calsior
A qui la poursuit
la luciole offre sa lumière ! ôtomo Oemaru Catégorie : Divers
Publié le 12/07/2007
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