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Ô mes amis que j'aime la douceur vespérale
La brise légère qui sourd de la fraîcheur du soir
L'obscurité qui détisse le jour de ses mains pâles
L'inconnu que l'on croise sur les trottoirs ...
L'air m'envahit par la bouche et par le coeur
Je l'accueille comme le souffle d'un aimé
De lui émane une subtile et délicieuse odeur
Dont mes poumons sevrés se gorgent à satiété ...
J'en oublie qui je suis cela importe peu
Je me fonds dans la nuit qui se rit de mes peurs
Tout ce que j'ai été se meurt à petit feu
Je redeviens l'enfant sans peine et sans frayeur ...
Et je veux rebâtir tout mon monde brisé
Le désir m'en revient la force emplit mon sang
L'ennemi j'ai tout seul laissé dans mon passé
Dans la foi qui me guide je vis dans le présent ...
19 septembre 2007
Écrit par calsior
A qui la poursuit
la luciole offre sa lumière ! ôtomo Oemaru Catégorie : Amour
Publié le 19/09/2007
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Commentaires
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Posté le 20/09/2007 à 06:08:22
@ Calsior, Un retour, une renaissance Tes mots empreints d'espèrance Marquent enfin ta délivrance Te retrouver quelle chance. Ton amie Chabada |
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chabada |
Posté le 20/09/2007 à 07:59:52
Chabada, ma douce amie, un grand merci du fond du coeur. Calsior |
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calsior |
Posté le 20/09/2007 à 20:19:34
j'aime ton écrit ,calsior ! | |
Alexandre-glaucos |
Posté le 21/09/2007 à 21:18:54
merci Alexandre de me lire | |
calsior |