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Elle était là, la belle, sur son balcon du sixième.
Sur sa chaise jambe fléchie, ses ongles elle lustrait
Tête baissée ne remarquant le coup d'œil qu'on jetait.
Cheveux attachés pour bien voir son visage d'Hélène,
En deux pièces, sans voir la mer, elle était parée.
Farniente, on y voyait un brin de vacances
Elle qui avait encore cette chance, d'avoir des vacances
Alors que d'autres, sûrement, au labeur passaient leurs journées.
Bon nombre seraient ceux qui auraient voulu être soleil
Caressant exquisément sa peau petit à petit devenue beige.
Chanceux est Apollon, lui que tant de femmes convoitent !
Belle offrande avait-il là, lui tout là haut qui la massait
Sans qu'elle ne s'aperçoive de ses gestes.
C'était un après-midi, après être sorti de la sieste.
Écrit par caballero
o temps suspends ton vol, et vous heures suspendez votre cours, laissez nous savourer les rapides délices des plus beaux de nos jours
Catégorie : Amour
Publié le 07/07/2008
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