Faut-il aller sur l'océan pour trouver le calme,
Ou frotter ses narines sur quatre planches de sapin
Pour qu'il ne se passe plus rien ?
Allongé au fond d'une barque, le clapot m'apaise plus que le silence.
Assis dehors, la lumière froide ou la bise nocturne
Me bercent à peine ; toujours menacé,
Je suis un cavalier cloué qui tue - s'il bouge -
Sa reine blanche sérénité.
Le bruit n'est pas l'ennemi
Mais bien ce qui nous suit
Et qu'au milieu des eaux, isolé des courants
On sait pouvoir noyer sagement
 |
Écrit par brunoejemert
Le matin, je ne mange pas, je pense à toi
A midi, je ne mange pas, je pense à toi Le soir, je ne mange pas, je pense à toi La nuit, je ne dors pas: j'ai faim. Catégorie : Divers
Publié le 01/12/2013
|
Ce texte est la propriété de son auteur. Vous n'avez en aucun cas le droit de le reproduire
ou de l'utiliser de quelque manière que ce soit sans un accord écrit préalable de son auteur.
| Poème Précédent |
Partager ce poème:
|
Poème Suivant |
| Divers à découvrir... | Poèmes de brunoejemert au hasard |
Commentaires
| Annonces Google |
Posté le 01/12/2013 à 12:23:11
 |
Le calme et la quiétude de l'esprit baignent ce poème, belle illustration Bon dimanche |
coeur.de.saphir  |