Or voici aujourd'hui ma sœur la brise,
Qui me visitait à Joal.
A l'heure où des oiseaux étranges, vieux message d'ancêtre, chantaient doux la rosée du soir.
La mémoire de ton visage est tendue sur ma gorge, tente fervente du tanguant
Voûte qu'encercle la forêt bleue de tes cheveux.
Ton sourire de part en part traverse ce ciel mien, comme une voie lactée.
Et les abeilles d'or sur tes joues bourdonnent comme des étoiles.
Et le chariot flamboie à l'angle haut de ton dextre, je crie la joie étale
Qui inonde de mon cœur plus ce que Niger en hivernage.
Je reposerais longtemps sous une paix bleu-noir longtemps je dormirais dans la paix joalienne jusqu'à ce que l'ange de l'aube me rende à ta lumière.
Écrit par bonne chance
ne jamais baisser les bras !
Catégorie : Amour
Publié le 27/07/2006
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