Sur les racines fines de fleurs emballées
Un pétale s'est, par ce bois empalé
Les herbes l'ignorent trop peu autorisées
Mais pas les pigeons au fins cou pendulé
L' eau et les ombres ne laissent tachées que de rares perles dorées, que les feuilles, sévères, surfaces laissent prénetrées. Le rose édulcoré, le vert et deux-trois gens, bougent en se figeant sous un ciel presqu'immobile. On entendait un violon, il s'est éteint, et sur mon neigeux papier, se sont posées des gouttelettes milimetrées, tout coule et les gouttes roses sont les plus gâtés : les rayons les éclairent et le vent les élève.
Le pigeon décolle et ses ailes envolées
Bruissent comme un de ces bas articulés
Gouttes et pollens fuient la peinture immolée
Des froids du printemps et aimeraient bruler
Écrit par Zigzag
\"L\'art est un mensonge qui nous fait saisir la vérité\" Picasso
"Mon bonheur ne serait pas bien grand, si je pouvais dire combien il l’est… " (Beaucoup de bruit pour rien, Shakespeare) Catégorie : Evasion
Publié le 06/07/2019
|
Poème Précédent | Poème Suivant |
Evasion à découvrir... | Poèmes de Zigzag au hasard |
Annonces Google |
Une scène de vie sur un parc de toute beauté ! Une poésie écrite pour nous faire voir l'invisible ...puis le rideau tombe ! Bravo Zigzag ! |
|
Yuba |