Je n'ai pas d'idole
Mais tu n'es la mienne depuis hier soir
Depuis je t'isole
Des autres beautés que j'aurais pu voir
Moi les auréoles
La soumission la crainte ça me gave
Des colonn'au sol
Je les brule jusqu'à l'état d'épave
Mais un seul morceau
De cette sale relique enflammée
Me semble inflammable
Elle brûle par mes soins bientôt
Bien sûr mon cerveau
Mon sale cerveau lent et misérable
Se décline en deux
Comme un puzzle que j'ai photomonté
C'est veule et hideux
Les moitié admirnt, adorent et succombent
Pourquoi ? Où je tombe ?
Entier, il refuse plein de dégout
Comment ? Pourquoi ? Où ?
Même les iconoclastes aiment !
Même eux composent des poèmes !
Je n'ai pas d'idoles
Mais depuis hier soir furtivement
Tu es la mienne
Écrit par Zigzag
\"L\'art est un mensonge qui nous fait saisir la vérité\" Picasso
"Mon bonheur ne serait pas bien grand, si je pouvais dire combien il l’est… " (Beaucoup de bruit pour rien, Shakespeare) Catégorie : Divers
Publié le 10/11/2019
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Commentaires
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Posté le 10/11/2019 à 09:28:59
Ce poème est original, il y a souvent dualité en nous. Puis on vit dans des sociétés où tout s'idolâtre facilement (célébrité, argent, mode, etc...). Merci Zigzag | |
Ombellune |
Posté le 10/11/2019 à 17:48:36
Une iconoclaste qui admire, attention, ça peut mener très loin, jusqu'à devenir l'artiste de ses œuvres, à orner temples et chapelles, jusqu'à la consécration ! Lol. Point de vue, Zigzag, le vôtre m'intéresse énormément, car votre regard est comme un laser qui désaffuble les faux-semblants. | |
jacou |