Ton squelette est un puzzle désossé
Au poignets se brisant
Face aux sûres indifférences et aux épaules haussées
Viens en moi t'effacer
Je te prendrai chez moi dans la Tour-e percée
Son toit n'est pas solide
Certes et l'isol'ment avare
Les perceuses vicieuses les vis mal placées
Tu sais ça peu sensé
Les sanctuair' peu cassés dans la Tour-e percée
Les insect'm'ont toujours autour devancée
Ils gardent ma demaur'sentinelles postées
Vieux materiaux-lambeaux ronces hissées
L'ont cernée embrassée
Je te parle bien sûr de ma Tou-re percée
Si j'cogne mes doigts axés
Mes pensées terrasées redondances chassées
Sur l'épais manteau-mur du Donjon phare
Tu aimes à caresser
ça C't architecture en d'la Toure Percée
C'est et ça restera un lieu perché
Au bord de laquelle les chats aiment à pisser
J'l'ai très mal dessinée deviens mon architecte
Belle jveux qu'tu t'en délectes
Nos coeurs sront entassés dans cett' Toure Percée
(La Tour Percée du poème n'est pas celle d'Isère-dont j'ignorais l'existance en composant le poème. A l'origine elle servait plutot de squat et de décor à des aventures, pas à ces Amours sapphiques-quoique...)
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Écrit par Zigzag
\"L\'art est un mensonge qui nous fait saisir la vérité\" Picasso
"Mon bonheur ne serait pas bien grand, si je pouvais dire combien il l’est… " (Beaucoup de bruit pour rien, Shakespeare) Catégorie : Amour
Publié le 08/07/2019
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