Au milieu, l'écorce épaisse et brute
Autrefois fluette elle a fleuri
De mille yeux étonnés qui nous scrutent
Que les clochettes pâles envient
Au milieu du travail vide
Redoublez de regards volubiles
Car des yeux restent longtemps acides
Des sourires, indélébiles
Au milieu, l'écorce épaisse et brute
Autrefois fluette elle a fleuri
De mille yeux étonnés qui nous scrutent
Que les clochettes pâles envient
Les mains qui saisissent le muguet
Parmi l'aube solennel
Sont souvent les mains qui pagaient
Dans un ruisseau de zeste et zèle
Au milieu, l'écorce épaisse et brute
Autrefois fluette elle a fleuri
De mille yeux étonnés qui nous scrutent
Que les clochettes pâles envient
Un oeil qui t'a aperçu hier
Un visage toujours en rougit
Car c'est un sentiment sans cerbère
Sans fierté ni envie sans tyran
Et qui furtivement t'a souri
Sourit encore en ce moment
Et qui furtivement t'a souri
Sourit encore en ce moment
(Les derniers vers ne sont pas ici
Car ils disent un nom important)
Joyeux Premier Mai
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Écrit par Zigzag
\"L\'art est un mensonge qui nous fait saisir la vérité\" Picasso
"Mon bonheur ne serait pas bien grand, si je pouvais dire combien il l’est… " (Beaucoup de bruit pour rien, Shakespeare) Catégorie : Amour
Publié le 01/05/2018
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Bon 1er Mai zigzag |
MARIE L.  |
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Merci pour ce joli bouquet mais on reste un peu sur sa faim! |
banniange-deleted  |
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J'aime énormément le dernier passage " un œil qui t'a appercu hier un visage toujours en rougit,car c'est un sentiment sans Cerbère , sans fierté, sans envie, sans tyran , qui furtivement t'a souri,sourit encore en ce moment " C'est une magnifique de scription , inde scriptible de ressentis , bravo Zigzag pour cette profondeur d'âme , qui sait capturer l'attention , l'interrogation, et met à contribution l'imaginaire du lecteur ... |
| Estaile |