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Ô sentier odorant de ma folle jeunesse,
Je voudrais respirer ton parfum d'aubépine
Et m'enfouir vivante en ce cercueil d'ivresse
Qu'est la terre de France à son aube divine.
Tes fleurs amoureuses d'un coeur qui sut mourir
En recouvrant mon corps de corolles fanées
Répandraient leurs parfums pour mieux l'ensevelir
Au début du printemps de toutes les années.
Ô sentier odorant de ma folle jeunesse,
Parfume encore ma vie qui va bientôt finir,
Car sa flamme qui brûle, hélas, avec tristesse,
Ne rêve de s'éteindre qu'au sein du souvenir.
Écrit par Zabeth B
Même quand tout est dit,
reste le poème qu'on n'a jamais lu. Catégorie : Triste
Publié le 08/10/2008
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Commentaires
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Posté le 08/10/2008 à 12:51:21
Sublimissime! | |
°Darkdiamant° |
Posté le 08/10/2008 à 13:33:41
Magnifique !!! | |
Teva |
Posté le 08/10/2008 à 14:03:12
très beau ! | |
louann |
Posté le 09/10/2008 à 17:03:13
Bonjour, Vos commentaires sont courts mais si élogieux, si gentils. Merci. |
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Zabeth B |
Posté le 09/10/2008 à 17:38:04
magnifique ce poème sur la vie qui s'éteint petit à petit mais cette flamme reste d'une beauté sans limites. | |
nicky |