On buvait le soleil,
La mémoire à la belle,
La nuit étoilée de violoncelles,
Nous étions nées
Le soulier abîmé d'avoir navigué
Dans les plaines
Nous cueillons des ritournelles,
Et dans l'eau des puits et des fontaines,
On s'abreuvait.
En témoigne la rosée sur tes joues
Qui si doucement s'est posée.
Nous délions nos langues
Sous un soleil de plomb,
Nous parcourions nos jambes
Jusqu'au sommet.
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Commentaires
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Posté le 16/10/2012 à 15:39:12
Une bien subtile teinte de surréalisme pour ce moment de rêverie. | |
Bragi |
Posté le 29/10/2012 à 04:31:00
Si l'on veut, oui. Ca reste assez succinct quand même pour pouvoir parler de rêverie, mais soit. | |
Yonisland |