Devant le souffle de la mort
Il est impossible de bouger,
Les regrets et chacun de nos torts
Nagent un par un à nos côtés.

Quand la nuit terrible et froide vient
Pourquoi doit-on se rappeler
Le mal que l'on craint

Que nous avons volontairement donné
A tout ces êtres si innocents
Que moi je blesse toute la journée
Je sème beaucoup trop de sang
Et mes rêves s'éloignent à jamais
Je dirais tant mieux pour moi
Après tout c'est bien fait
Car jamais je mériterais un éclat comme toi

Je suis un peu comme le diable,
Je sais faire du mal sans pitié,
J'ai même peur ce dont je suis capable,
Je suis l'enfant des damnés.