Au milieu de moi s'étendait la nuit noire, croquant
Les bruits cassants et les ombres fuyantes,
Au-dessus de moi s'étendait la nuit noire, scintillant
La neige, poudre blanche, d'un ciel résonnant…
L'herbe est si verte aujourd'hui sur la colline du vent,
Hâtons-nous de rejoindre le sommet !
Dans ce vent qui tourbillonne et qui nous arrache à notre sang,
Je me raccroche à elle, à ses racines sous la terre,
Comme si le ciel m'offrait sa beauté sous un masque caché.
Vois-tu la lumière de l'Aurore
Elle découpe et fait une fissure dans le rêve
L'air se charge en d'infime rayon d'or
Le temps d'une goutte bleu ciel,
Elle transperce nos cœurs par le Glaive.
Au milieu de moi s'étendait la nuit noire, croquant
Les bruits cassants et les ombres fuyantes,
Au-dessus de moi s'étendait la nuit noire, scintillant
La neige, poudre blanche, d'un ciel résonnant…
Écrit par Viel arbre
La seule chose qui soit mauvaise, c'est l'ignorance et l'indifférence de l'homme à l'égard de la nature magique qu'est la sienne. Carlos Castaneda.
Catégorie : Amour
Publié le 27/01/2013
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superbe | |
angelique |
Fluide et imagé, très bien écrit ! | |
Lhyndae |