A l'aube le chant de la pluie,
Taquine la peau, révèle la vie.
Le Silence impérial, vent du Nord
Glace les terres à ces Aurores.
Dans la clarté d'une jolie plaine
Un enfant y rit sans gêne
Bras ouvert, tendresse sur le monde
Traquant les démons chaque seconde
Un passé derrière un petit corps,
Le petit môme erre sans remord
Au grès de l'or âcre d'automne
Doucement alors il chantonne
L'histoire secrète des trois mages en tête
Qui liés par la corne d'un être magique
On ouvert, dévoilant l'âme à tiers
Vers une autre fenêtre séraphique ...
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Écrit par Viel arbre
La seule chose qui soit mauvaise, c'est l'ignorance et l'indifférence de l'homme à l'égard de la nature magique qu'est la sienne. Carlos Castaneda.
Catégorie : Amour
Publié le 31/10/2018
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Commentaires
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Posté le 31/10/2018 à 13:25:25
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Un poème d'un thème assez rare sur le site : la fantasy. Je me retrouve totalement dans ce genre de monde enchanté ! Je le place parmi mes favoris, un grand merci Viel Arbre pour cette écriture fine, ciselée qui nous ouvre la porte du pays des licornes... |
grêle  |
Posté le 01/11/2018 à 18:48:16
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J'aime ce poème qui n'a embarqué dans un autre monde. Merci |
roserose  |
Posté le 01/11/2018 à 22:27:19
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C'est un poème qui me ramène vers l'enfance, qui m'émerveille par sa douce candeur obtenue par des suggestions versifiées : les mots choisis avec tact. Bravo Viel, retrouver l'enfant en soi n'est pas facile ! |
jacou  |
Posté le 01/11/2018 à 22:46:25
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Merci à Grêle, Rose rose et Jacou pour avoir déposé votre avis ! C'est toujours très touchant de la part de personnes amoureuses des mots ^^ |
| Viel arbre |