Oh Prince étrangé à mon pays
À la peau blanche
Aux vêtements verts et vermeilles
Usant de ton sabre droit
Frappe avec hardiesse
L'écume des cymbales
Bat la mesure du danseur joyeux d'orient
Et dans les marchés d'épices
Là, où les trompettes s'émeuvent en de graves notes
Là où les quatre cordes pincées des cithares
Ondulent dans l'air vicié
De rêves anciens, aujourd'hui fumés d'encens
Boit l'idyllique sagesse antique
Alors tu oublieras et tu ne sauras plus vivre
Qu'entre les hémistiches des beaux alexandrins
Chantés par les marins, des ports éloignés
De mon Inde ensoleillé
Ce texte est la propriété de son auteur. Vous n'avez en aucun cas le droit de le reproduire
ou de l'utiliser de quelque manière que ce soit sans un accord écrit préalable de son auteur.
Poème Précédent | Poème Suivant |
Amitié à découvrir... | Poèmes de Varcosa au hasard |
Commentaires
Annonces Google |
Posté le 22/05/2017 à 17:22:28
Bienvenue à vous, Varcosa ! Votre poème est un dépaysement d'un charme certain. |
|
jacou |
Posté le 22/05/2017 à 18:28:24
Superbe poème ! J'adore. Votre nom est très agréable aussi, je me réjouis de le voir dans le fil d'actualités. | |
Galerion |
Posté le 23/05/2017 à 07:42:28
Le charme d'un magicien du verbe, vaut bien un voyage lointain ! MERCI !👏🏻 | |
singe vert |