O, qu'il resterait toujours ce jour-là,
Où j'étais heureux et tout amoureux,
Nous parlions en marchant, là-bas,
Du jardin à l'école pour nous fermé,
Elle avait une nouvelle façade, » C'est laid !«
Mais je la trouvai belle à travers elles,
Les lentilles amoureuse d'une fille irréelle.
Ce n'était qu'une promenade ordinaire,
Du jardin et puis partout dans la ville,
Sans coucher du soleil sans sable par terre,
Le pavé sur nos pieds le gris dans le ciel.
Ainsi ils se séparèrent ce fils et cette fille,
En promettant un revoir très bientôt,
Mais les jeunes coeurs stupides attendent et attendent,
Ils attendent dans la crainte de l'amour.
En attendant ils perdent sa jeunesse,
Trop tard ils comprennent ce qu'il fallait faire,
Une chose si facile et non compliquée,
Que ça ne leur fait que plus de tristesse !
Alors dix ans plus tard ils se reverront,
Ils se souriront mais ne diront que « adieu ! »
Écrit par UrbanKristan
Simplement un poète
Catégorie : Amour
Publié le 31/10/2012
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