La pluie mange la brume
Et y laisse des trous,
Des tristesses, c'est fou
La vie hante ma plume
Car s'y planquent lagunes,
Les misères des joues.
C'est l'ivresse, t'es saoul ;
Palpitantes lacunes
S'agitant de la vue,
Esquissaient ce trait doux
Des chimères et goûts
Tapis dans ce chahut.
Ami prend ce gras, fume,
Tergiverse des cous,
Des diérèses des flous ;
La nuit danse la brume.
Écrit par Thich
Voir partir l'inconnu, c'est le laisser intact.
Catégorie : Divers
Publié le 06/06/2017
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Commentaires
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Posté le 06/06/2017 à 20:34:46
C'est un poème hanté par les sonorités qui s'y logent. Bel exercice poétique ! | |
jacou |