Allez ailleurs si les gens par Rilke et Musset
Palpent le bonheur de quelques vers tressés
Ne tergiversez plus et n'osez pas les sonnets
Si vous vous contentez de l'écrivain engagé
Ses maux marquent comme l'encre de chine
Notre peau doucereuse et encore blanchâtre
S'incruste dans les pores sa simple franchise
Qui déverses maints flots de mots opiniâtres
Avec une élégance qui égale toute prestesse
S'aligne Ce qu'il voit soit la vie de notre bas
Ses subtiles pensées animent toute paresse
Et dans quelques quatrains jamais ne lassera
Lorsqu'Aragon parle dans une froide vérité
Cet amour sempiternel qui fut son présent
Semble partager avec vous amis de pensées
Après deux paroles vous resterez haletants
Écrit par TheSnake73
« Si tu as cru, destin, que je pouvais partir, il fallait me donner des ailes. » Pierre Reverdy.
Catégorie : Divers
Publié le 25/03/2013
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Commentaires
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Posté le 25/03/2013 à 06:48:36
Bel écrit | |
angelique |
Posté le 25/03/2013 à 07:28:30
SUPERBE HOMMAGE À UN DE MES PRÉFÉRÉS SON POÈME QUE JE PRÉFAIRE CEST : "LA ROSE ET LE RÉSÉDA " CELUI QUI CROYAIT AU CIEL , CELUI QUI N'Y CROYAIT PAS TOUS DEUX ADORAIENT LA BELLE, PRISONNIÈRE DES SOLDATS AU COEUR DU COMMUN COMBAT, FOU QUI FAIT LE DÉLICAT,,,,,,, |
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flipote |
Posté le 25/03/2013 à 07:30:00
DIRE QUE JE NE SAIS PLUS ÉCRIRE! JE PRÉFÈRE , BIEN SÛR! | |
flipote |
Posté le 25/03/2013 à 16:50:41
ma victoire aux yeux clos de l'éternité farde toi que mes bras au grand jamais n'enlaceront j'ai frôlé ta main froide, et pour toujours je gardes le regret de n'avoir osé toucher le front ô plus grand désir, que plus rien n’interrompt c'est celle que j'aime l'ami, c'était à la mort d'Elsa merci pour ton joli poème amicalement zeste |
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zeste |