Certaines choses semblent plaire à l'existence
Comme elles nous satisfassent à nous parias
Et certaines heures aussi grises d'abondance
Nous apparaissent alors au-delà de leur glas
Il est de ces temps qui nous sont impropres
Qu'un matin j'ai goûté en un réveil imprévu
Il reste ces surprises de divers philanthropes
Qui au seuil du jour nous cueillent encore ému
Mais ma propre Inopinée est venue de bien loin
Près de cette terre où l'on n'accorde plus les mots
Durant ces jours je cru m'émanciper de ses soins
Que l'on nomme sentiments un peu par défaut
Et comme un soulagement d'enfin la retrouver
Et le monde s'immiscera dans cet aveu soumis
Et de lui dire Je t'aime dans cette triste vêprée
Et de lui dire Je t'aime comme à une égérie
Écrit par TheSnake73
« Si tu as cru, destin, que je pouvais partir, il fallait me donner des ailes. » Pierre Reverdy.
Catégorie : Amour
Publié le 06/06/2013
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Commentaires
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Posté le 06/06/2013 à 21:24:02
J'aime, surtout la première strophe. Bravo ! | |
Marouette |
Posté le 07/06/2013 à 09:47:18
magnifique. Bravo ! | |
Balder |
Posté le 07/06/2013 à 12:59:00
Posté le 07/06/2013 à 13:06:23
JE NE COMPRENDS PAS CES DEUX VERS: "IL RESTE CES SURPRISES,,,,,,,,,,, QUI NOUS CUEILLE (SINGULIER SINGULIER!,,,) |
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flipote |