Ce qui fut brisé, ne pourra être reforgé.
Le temps s'est cassé, j'ai cru aux soupçons,
Le bleu-vert a inexisté, parfait.
J'ai perçu ce monde que nous façonnions
Et les bulles de rêves que tu libérais.
Une illusion me replongeant dans les abysses
Précieusement ancré par mes Sombres et mes Songes.
Je n'aurai jamais attendu qu'ils s'assoupissent
Puis je voulais que l'éternité se prolonge.
Tu étais tout mais tout n'étais pas un,
Tout n'était pas sein et rien n'était su,
Je suis irrité de t'avoir déçu,
Si ce n'est pas le cas ça n'change rien.
Ah, si tu savais que la brise est douce
Quand la chute et les ténèbres s'épousent,
Quand le pommier s'écrase, déchu, dans la brousse,
Un cœur noir et creux, attendant qu'on le recouse.
Encore et éternellement, je m'en vais et dors lentement, j'éteins le soleil et m'évapore doucement, au gré de mes lacunes j'apprécie la simple faiblesse d'admirer son propre monde sans jamais pouvoir y existé.
Écrit par Tarada
L'hôte de la paix nouvelle se trouve dans la conscience de l'humain.
Catégorie : Triste
Publié le 21/03/2016
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