Le citadin est habitué
A payer partout ou il va
Les parkings aménagés
Pour l'auto au bon format
Et gare au contrevenant
Qui oublierait de s'acquitter
Du droit assez conséquent
Pour pouvoir s'y garer
C'est souvent une femme
En uniforme sombre
Qui mettra sans état d'âme
Des papillons en nombre
Un autre cauchemar
C'est le besoin d'uriner
Il y a des cabines bizarres
Mais il faut encore payer
Moi j'habite un village
Et me gare n'importe où
Et personne n'envisage
De me voler un sou
Et pour les envies urgentes
Pas de cabine en ciment
La nature est accueillante
En des petits coins charmants.
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Écrit par TANGO
Regarde autour de toi, et tu sauras que tu es heureux...
Catégorie : Divers
Publié le 26/04/2017
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Commentaires
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Posté le 26/04/2017 à 07:17:55
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L'avantage d'être rural, no stress ! |
CRO-MAGNON  |
Posté le 26/04/2017 à 07:32:08
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Une vie que je partage, soulignée de vérités hélas trop réelles! |
| lefebvre |
Posté le 26/04/2017 à 08:02:32
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Moi, j'adore faire pipi dans la nature ! :-) Un luxe qui n'a pas de prix ! Bravo Tango. |
Iloa Mys  |
Posté le 26/04/2017 à 08:24:59
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Faire siffler son oiseau sans autre contrainte que la pudeur, est plus champêtre que l'effluve d'un urinoir ! Belle leçon de vie ! lol !😂 !!! |
| singe vert |
Posté le 26/04/2017 à 10:07:55
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Oui, TANGO, qui dira sinon vous, et Daniel sans doute, les charmes discrets de la vie des villages, comparés à ces grandes villes où l'on s'entasse, partout, partout, et où même se soulager est un parcours du combattant, entre urinoirs et cafés à consommations obligatoires... Fuir la grande ville, un projet. |
| jacou |
Posté le 26/04/2017 à 21:13:36
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J'aime beaucoup ce poème et la nature est belle alors il faut en profiter et la tranquillité n'a pas de prix |
| roserose |
Posté le 26/04/2017 à 23:43:30
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Alors vive la nature et la vie au grand air...comme Jacou je dis vivement que se concrétise à ceux qui le désirent l'existence tranquille au milieu des champs...un beau projet cher Tango. Je t'embrasse :) |
| Yuba |
Posté le 27/04/2017 à 01:21:43
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Un poème sympathique et la dernière strophe est "zen", merci Tango. |
| suane |
Commentaires
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