Ô reine des étendues polaires immaculées, tu restes la pièce maitresse
De mon règne et des ambrures honnêtes d'une vague buée, du zeste amer stellaire,
Mon rêve s'est répandu aux vers, qui, adulés, furent blêmes d'un tel extrait,
Ô sève des prétendus sommets, qui a humé lumière atteste ses merveilles.

Ô belle des trêves rendues, ton air vif, parfumé du flegme, caresse l'esthète,
Le poème de tes cambrures possède mille va-nu-pieds, une traine d'après célestes,
Se corrèlent les brèves encrures bohèmes miraculées, lune pleine parraine l'air frais,
Ô graine des verbes en plumes, mon esprit rallumé, superbe, parait perplexe.

Ô trêves des défendues promesses qui parcourent les plurielles parcelles des steppes,
De bonnes quêtes, les fières pendules connaissent nuages, nuées, l'humaine planète des siècles,
Noèmes des gestes sans brumes, noèmes d'une acuité, suaire d'un gré célèbre,
Ô exergue détendu, ton sel rime la sûre paix du ciel avec les terres.