Les autres jours, 'fin ça dépend
Parfois, tu vois, je peux tenir
Mais certains soirs, certains moments
J'ai presque l'envie d'en finir...
J'ai les yeux rouges, tu sais pourquoi
J'ai pas toujours la force qu'il faut
Parce que mon coeur n'est pas de bois
Alors je laisse couler l'eau
Tu as beau dire, mon ami
De ne pas me laisser aller
Qu'il y a le jour après la nuit
Et que sur toi je peux compter
Il va me falloir tant de temps
Pour oublier qu'elle est ma vie
Pour effacer mes sentiments
Pour me rappeler qui je suis
Tu partages un peu ma douleur
Je l'ai perdue ou jamais eue
Elle m'a volé tout mon bonheur
Et elle n'en a jamais rien su
Ces sentiments ineffaçables
Dont je ne peux me délivrer
Je me retrouve bien incapable
De chercher à continuer
Heureusement que tu es là
Tu n'atténues pas la douleur
Mais au moins tu comprends pourquoi
Je n'suis qu'une fontaine de pleurs
Je dois essayer d'apprendre
A accepter qu'elle ne m'aime pas
Mais en vrai il y a sous les cendres
Un feu qui brûle et ne s'éteint pas
Et chaque souffle le ravive
Et chaque pensée l'attise
C'est de ma vie que je me prive
Je suis battu, sous son emprise
Écrit par SpookyVince
Les mots des maux soulagent l'âme qui s'épanche sur le papier, tel un dessin que la vie trace dans nos mémoires.
Catégorie : Triste
Publié le 19/01/2015
|
Poème Précédent | Poème Suivant |
Triste à découvrir... | Poèmes de SpookyVince au hasard |
Annonces Google |
Magnifique... | |
pichounne |
un ami dans ces moments là ou le coeur se meurt est un petit bonheur* courage* |
|
MARIE L. |
Un petit bonheur qui ne répare pas les malheurs, mais tu as raison Marie... C'est un des seuls bonheurs qu'on trouve encore dans ces cas-là. Ils doivent en avoir marre de supporter mes ratés, mes amis. Pas tant que moi... Merci d'avoir aimé, c'est peu mais tant. |
|
SpookyVince |