J'avoue que je me suis mal comporté
Et ne peut nier que par cela je t'ai blessé
T'infligeant une douleur insoutenable faute de ma cruauté
Faute de m'être laissé, par la colère, emporté
Maintenant hors de ton cœur je suis
Errant à chaque minute de ma vie
Tout en pensant au chaleureux accueil
Qu'au bout du voyage me fera mon cercueil
Il ne me reste plus que quelques heures
Assez pour me remémorer ce que fut mon bonheur
J'essayais d'y penser et découvris à quel point il fut merveilleux
Et mon comportement envers toi, monstrueux
Je m'arrêtai et fis demi-tour
Pour récupérer le peu qu'il reste de cet amour
Car à présent ma seule destination est celle de ta demeure
Là où je viendrai cogner afin que tu m'ouvres ton cœur
Après une grande attente enfin tu me l'ouvris
Mais sur le seuil, m'accueillis
Apres maints efforts pour à nouveau y pénétrer
Je compris que jamais je ne pourrais y accéder
Mais je continue à espérer, comme tout être désespéré
Qu'un jour je me réveillerai
En me disant que ce n'était qu'un cauchemar
Puis t'embrasser sans maquillage, ni fard
Hélas ! La réalité ce n'est pas ce qu'on imagine
Mais plutôt ce que l'on évite quand on désire une rose, les épines
Me pardonner c'est tout ce que je souhaite
Nous voir de nouveau ensemble et faire la fête
Ceci est mon plus grand désir
Oui c'est pour cela qu'à tes pieds, je soupire.
Écrit par Sophie
Garder son âme d'enfant n'empêche pas de mûrir
Catégorie : Triste
Publié le 14/06/2007
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Alexandre-glaucos |
Très beau poème, tristesse et amour. J'aime beaucoup ! Bonne continuation Soph' :) |
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Pouet |