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J'ai appris la douleur des instruments,
leurs sons, leurs teintures et leurs sentiments,
j'ai réussi à percer leurs âmes leurs blessures infâmes,
c'est profond, transperçant, petit à petit, lentement,
Je les ressens tel des êtres vivants, parlant, gémissent,
Une certaine bonté, imaginaire, ou assombrissante,
Structure d'émotions longue et pesante,
j'imagine à chaque fois, chaque source se protestant,
de leurs mélodies douce et brute c'est certain je les ressens,
faites le point, écoutait, imaginait, cette sensation,
Ce son qui vous embroche, qui fait l'éloge,
des majestueuses prisons de pensées,
qui à chaque fois, vous fait réfléchir, flancher, ou raisonner,
de manière sensible, lente, sensé ou insensé.
D'une manière ou d'une autre, il faut toujours y remédier.
Y passer des heures, sans ne jamais avoir peur,
de voir les heures s'écoulait brusquement,
Il faut avoir du temps, du temps pour inspirer,
prendre pouvoir de cette mélodie, la pénétrer
et surtout ne pas partir en biais.
Écoutez.
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J'ai écouté avec attention la mélodie que tisse votre joli poème, Sophia. Le temps fuit comme un voleur. Amitiés. |
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jacou |
Je te remercie Jacou :) à bientôt et bonne soirée !! |
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Sophia |