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Étant la faiblesse même la mort me vint
Frappée à pleine vitesse par ses aveux
Tuée par cet ange à la peau de satin
Sidérée par la colère qui possédait ses yeux
Ses mots m'atteignaient et me frappaient sans me toucher
Plus elle feignait, mentait, criait, plus elle me libérait
Ne sachant pas l'erreur qu'elle faisait, l'amour qu'elle rejetait
Mon sourire devint cruel et je fus ranimée
Mes engourdissements s'évanouissaient
Mon innocence me quittait
Et je la vis telle qu'elle était
Une flamme éternelle qui me brûlerait
C'est alors que le paradis devint l'enfer
Que ses ailes disparurent
Que sa chaleur devint l'hiver
Et puis sa haine me consuma...
Écrit par ShadyLanne
Un sentiment , un grand poème !
Catégorie : Triste
Publié le 29/04/2009
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Commentaires
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Posté le 29/04/2009 à 18:06:08
Quel magnifique alternance entre le bon et le mauvais côté des gens! Bisous |
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Dahlla |