Quelle si jolie demoiselle
Qui me fait tourner la tête
Elle est tellement belle
Quelle peut m'appeler la bête

Je ne peux me passer
De ce souvenir fougueux
De cet amour passionné
Quelle querelle d'amoureux

Quel étrange sentiment
Que celui de la dépendance
Cette sensation affolante
De l'attente d'un ange avec patience

Je me rapproche doucement
Je sens mon cœur bondir
De bonheur mais patiemment
Comme un fauve qui rugit de plaisir

Je suis maintenant tout près
Et je me sens pousser des ailes
Puis un soudain arrêt
Et deux personnes qui se mêlent

Cette chevelure dorée
Digne d'un cadeau des dieux
Seule une déesse saurait apprécier
Ce présent qui fait tant d'envieux

Toute cette finesse
N'est rien à coté de sa beauté
Mélangée à sa gentillesse
Ceci dessine une divinité

Sans parler de ces yeux
Tellement magnifique sont-ils
D'un profond et si beaux bleu
Qui en a rendu désireux plus de milles

Elle illumine tellement ma vie
Qu'a coté le soleil parait terne
D'amour pour elle mon cœur se remplit
Que seul son ignorance pour moi me peine

Je m'ennuie sans elle
Mon cœur se refroidit
Car je me sens loin de celle
Pour laquelle je suis ici

Je ne peut me séparer
De son délicat parfum
Cet odeur passionné
Qui en à fait trembler plus d'un

Sa voix si envoûtante
Comme le chant des sirènes
Mais aussi venimeux qu'une plante
Elle part et nous fais de la peine