Les histoires d'amour tristes, c'est comme la drogue:

On s'y frotte, sécrétion d'endomorphine,
Ascension et paroxysme du plaisir,
On y prend goût et devient addicte,
Mais la retombée est violente.
Sans cette chose, on est en état de manque,
On ne pense plus qu'à cela, état de fièvre et j'en passe.
Le sevrage est un combat, et on ne s'en débarrasse jamais.
Il suffit d'une seule fois pour retomber dans le cercle vicieux. . .
La seule différence est dans le dosage, même en surdose, l'amour, on n'en meurt pas...

Les histoires d'amour qui riment avec toujours, c'est comme le ciel:

C'est bon de se sentir flotter et de survoler la terre.
Parfois, Le temps est nuageux et nous rappel les disputes,
La pluie est aux nuages ce que les larmes sont à l'homme:
Une condensation qui arrivée à saturation nous mouille un peu les joues.
Je préfère ne pas parler des orages qui plus rares,
Ne touchent pas tous les couples, et tant mieux.
Mais heureusement, le vent souffle et le soleil revient.
Qu'il est bon d'aimer, mais encore plus, d'être aimé...
Même les plus fragiles ne risquent pas les coups de soleil...

Pas de rimes, mais je voulais partager ça avec vous quand même.