Le matin s'éveille à la lueur d'une plaie dans le ciel.
Des langues pourpres s'épanchent sur les strates de l'horizon.
Des fumerolles,
En colonnes s'échappent de l'asphalte,
Nimbant l'air d'un léger voile diaphane.
Les cheveux emmêlés dans les doigts du vent,
Je m'en vais humer les lambeaux du soir.
Écrit par Rydia
La cohérence est le dernier refuge de ceux qui n'ont pas d'imagination.
Oscar Wilde Catégorie : Divers
Publié le 29/09/2012
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Commentaires
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Posté le 29/09/2012 à 11:56:17
Très joli. | |
jeancharles |
Posté le 29/09/2012 à 23:16:37
Poétiquement riche dans la de scription de la transition entre l'obscurité et la lumière. Très plaisant. J'applaudis. |
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Mokolo |