Vous, femmes, qui n'appartenez à personne
Pourtant, Mesdames ou Mesdemoiselles on vous nommes
Lueur d'espoir de l'homme qui vous a conquis
Mais se laisse bercer dans ce qu'il a appris
Vous, femmes, qui incarnaient tant d'allégories
Déesse de la vie, Déesse de l'amour
Capable de décapiter d'un seul sourire
Les plus grands guerriers des batailles de toujours
Vous, femmes, croisant vos jambes face à l'homme avare
Jusqu'à nous rendre fou de votre virginité
Restant de marbre devant ces barbares
Décelant goutte à goutte l'érotisme tant convoité
Vous, femmes, doux alambic aux effluves divins
Je m'enivre de votre charme impitoyable
Je bois vos paroles, je bois votre chagrin
Car je reste un homme, je reste un cannibale
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Commentaires
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Posté le 06/06/2011 à 18:38:18
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Ha oui, j'aime bien, plus qu'à la forme je m'avoue réceptif au contenu (encore fût-ce pour moi l'occasion d'apprendre qu'"effluves" peut être masculin). Ca me donnerait envie d'écrire à mon tour sur le sujet! Merci pour cette Alexandrine que j'ai bu d'une traite. |
Dulac  |
Posté le 06/06/2011 à 18:40:45
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Comme disait l'autre : une femme c'est une femme et un homme c'est un homme ! Jusque là on est d'accord. Merci pour ce beau poème qui sublime les femmes. On en a toujours besoin quelque part, d'être sublimée. |
Marouette  |
Posté le 06/06/2011 à 19:42:00
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merci pour ces commentaires bonne continuation à tous |
| Romaric |
Posté le 06/06/2011 à 23:46:56
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ohimè! je n'ai guère de penchant pour les hommes cannibales,,, ton écriture par contre me convient tout à fait |
flipote  |