Quand la souffrance est un fardeau trop lourd à porter
Et que la jeunesse ne fait office de garde fou
Quand le bonheur ne peut être apprécié
Et que l'avenir nous prend au cou
Quand l'innocence fait office de ferveur
Mais que l'amour nous fait trembler
On ajoute à l'avenir, prudence
Même si on ne fait qu'espérer
Quand l'amitié s'immisce dans le pardon
Et que l'orage menace nos cœurs vides
Mais qu'au fond on aime avec passion
Tel un oasis dans le désert aride
Quand on est qu'une pauvre âme au gré des vents
Et que l'espoir futile nous rend grâce
Dévoilant un futur plus qu' impressionnant
Et l'immensité de la vie à laquelle on doit faire face
Quand l'esprit devient le creux de la plaie
Et quand le cœur essaye de tenir la barque comme il peut
Alors toute trace de joie de vie disparaît
Et laisse au quotidien un arrière goût malheureux
Ces malaises de bonheur peu fréquents
Rendent à la lumière toute sa vivacité
Toute sa dimension d'auparavant
Pour qu'elle puisse briller dans l'éternité ....
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beau et émouvant ! | |
louveblanche |
Très belle "flamme de vie" qui oscille entre amour et malheur. J'aime beaucoup " et que la jeunesse ne fait office de garde fou". Il est vrai qu'on est tellement fragile quand on est tout jeune. | |
Marouette |