Quand tombent du ciel
Les larmes blanchâtres
Le monde s'émerveille
Comme face à l'âtre

Regard de flamme
Esprit tendre
Je n'aimais qu'une femme
Le cœur en cendre

Et mes pas dans le sable neigeux
S'effacent à chaque seconde qui passe
Comme le temps, souvent impétueux
On vit un jour, et le lendemain trépasse

Je la sens qui parcours, chacune de mes veines
Qui suit son chemin, connaissant la maison
On le connaît sous le triste nom de la peine
De son terrible parcours, de l'amour le poison....