Dans ces étendues désertiques
Tu navigues, tu dérives
Comme une épave, antique
Tu recherches ta digue..
Voyageur des souvenirs
Tu n'es qu'un esprit
Que personne ne voit venir
Quand il s'approche dans la nuit
Observe et attend
Au creux du chemin
Ces gens inconscients
Se tenant par la main
Ils sont fous ces enfants,
Fous d'amour l'un pour l'autre
Regarde ces jeunes innocents
Leurs sentiments comme furent les nôtres
Traversant le sentier des soupirs
Et les routes en devenir
Amenant a eux l'envie de mourir
Quand la perte de l'autre se fait ressentir
Et les plaines et les plaintes
Sont deux choses liées
Les deux nous éreintent
Quand elles doivent être traversées
La solitude et la souffrance
Accouplés dans le vacarme
Et créant se brûlant silence
Celui qui si simplement nous désarme
Car au centre de la cage
A lieu le combat infernal
L'amour et la mort qui se saccagent
Et le temps, interminable...
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J'aime beaucoup ce paysage état d'âme | |
Zigzag |
Et les plaines et les plaintes sont pleines jusqu'aux plinthes dans la maison du souvenir de toutes nos images vues et sentiments vécus... J'aime ce poème qui m'inspire et que je voudrais continuer, car son titre me parle et définit une façon d'être au monde, où le paysage saturnien de la mélancolie étend sa part obscure... C'est vous qui résumez ainsi votre âme. Merci beaucoup. | |
jacou |
Bonsoir Et tout un Chacun peut s'y retrouver .. Lys-Clea |
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Lys-Clea |
Cher Jacou, n'hésitez pas à poursuivre avec vos mots, chacun peut y exprimer son ressenti. Merci à vous autres. Rom. |
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Rom169 |