Une nuit de lune,
le vent frais caressant
ondulait de ça de là
mais frêle était son existence.
Nos chemins s'étaient croisés
sous un voile violacé
de nuages,
en minces traînées, s'allongeant.
Comme des flocons légers,
prêtant serment d'un amour
éternel,
nos yeux s'étaient, alors, accrochés.
Et, sur le sable blanc,
la couleur de la fleur,
dans une sublime étreinte,
s'était évanouie.
Écrit par Raymond_MATABOSCH
Cent fois sur le métier remet ton ouvrage car c'est en forgeant qu'on devient forgeron.
Catégorie : Amour
Publié le 12/10/2006
|
Ce texte est la propriété de son auteur. Vous n'avez en aucun cas le droit de le reproduire
ou de l'utiliser de quelque manière que ce soit sans un accord écrit préalable de son auteur.
Poème Précédent | Poème Suivant |
Amour à découvrir... | Poèmes de Raymond_MATABOSCH au hasard |
Commentaires
Annonces Google |
Posté le 12/10/2006 à 08:06:57
très beau ! bienvenu sur le site ! | |
MAZBRI |
Posté le 12/10/2006 à 09:16:14
bouleversant, quelle belle écriture, j'aime beaucoup. | |
plustout |