L'enfermement de l'enfer me manque
J'ai comme sur les lèvres un petit goût de menthe
L'enfer me manque , c'est la terre qui chante
Quand l'ombre se tait toutes les lumières me mentent
J'entend des rires dans la poussières
Les enfants perdus d'un océan de son
Je vois tes mains et ta voix amère
Qui plongent sur le monde comme un petit poison
J'écris des lignes sans grandes pensées
Et embrasse le feu des mots non pesés
Mon esprit dance les bras croisés
Le coeur en hiver et l'âme entêté
Sous un soleil j'attend que le temps m'enlève
A ses heures délaissé de mes jours passé
J'ai su toucher ton crie et je vis dans tes rêves
Pour ne plus voir jamais ton sourire s'effacer
J'écris pour ne rien dire
Lorsque ma voix brisé
Fait vibrer en un rire
Ma poitrine enserée
Je mange le pain des dieux
Pétrie pars d'autres mains
Je fais un avec deux
J'enlacerais demain
Qu'aujourd'hui se présente
Seul et sans armée
J'ateste par la présente
dans mes bras décharné
De la naissance d'un tiers
Que la vie enjolive
J'irais combattre mes ombres
Et m'étendre sur une rive
A l'aube de ma renaissance
J'écris comme pour montrer
Crié haut et fort sur une page de papier
Qu'il n'est pas née celui qui altérera mes sens
J'irais sur tout les feux asperger de l'essence.
Écrit par Ramdam
Si tu ne veux pas noircir tu ne blanchiras pas
Catégorie : Spiritualité
Publié le 06/08/2020
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Bonsoir, Que de jolies Choses se profilent sous ces Mots Images .. Il y aurait une Profondeur à lui donner, mais il charme .. Lys.. |
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Lys-Clea |
Un poème incendiaire ! Mais des jolies images. | |
philomène |
Oui continuez d'écrire, pour combattre les ombres, si vous ressentez le soulagement à la fin du poème tout a un sens. Merci Ramdam | |
creature |