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Il se lève et se rassied reprenant son stylo
Le visage trempé de sueur, qu'il fait chaud
Dehors c'est sûrement l'été du mois juillet
Bref, il se remit à écrire sans énerver :
«Â Me revoilà de retour pour continuer
À parler de nos souvenirs précieux
Que personnes d'autre ne pourrait les voler
Et le mieux c'est qu'on les partage à deux
Enfin avant que tu me quittes pour un autre,
Te souviens-tu de l'enfant qui est nôtre
Qu'on l'ai eu de notre première nuit ?
Je voulais ajouter que pour moi
Ça n'a pas été accidenté cette nuit,
Mais le destin qui a voulu nous réunir toi et moi. »
De nouveau, il lève son stylo et le repose
Pour calmer ses esprits, soit prendre une pause.
Pendant qu'il se repose sur sa chaise
Le temps s'obscurcit, la forêt est moins visible
Où la qualité des arbres sont des chênes
Dans cette zone bien paisible.
Il reprend là où il en était :
«Â Chérie toi que j'ai aimé
Voilà un an est passé
Depuis notre première rencontre,
Neuf mois, la naissance du bébé
Et trois mois après, tu me trompes
Sous mon propre toit
Que j'ai partagé avec toi… »
Il continu à écrire mais le stylo n'a plus d'encre
Qu'il commence à s'énerver en appuyant très fort
Avec son stylo qu'il se mit à déchirer le papier,
Son bras d'un mouvement brusque fait tomber la lampe
Que la pièce fut totalement noir, après tant d'efforts
Rien ne sortira de lui, prit sa voiture pour la démarrer.
Le temps se dégrade en pleuvant,
Lui dans la voiture se parlant
Tout seul continuant
Sa lettre oralement:
«Â Chérie désolé, je n'ai pas réussi
À écrire notre histoire de notre vie,
Puis je laisse tomber, tant pis
Il y aura aucune trace de nous ici,
Personne saura notre histoire
Qui finit au grand désespoir.
Finalement on ne réussi à rien
Depuis ce jour où je te vois
Avec ce vaurien
Qui était mon meilleur ami
Qui a profité de toi et moi !
Vous voir sur notre lit
Je ne comprenais rien en moi,
Mon cœur qui battait vite,
Mes yeux qui me piquent,
Je n'y croyais pas,
Pour moi je rêvais
Que ce n'était pas vrai.
Mais si, c'était la vrai réalité
Toi qui essayais de me mentir
D'essayer de tout m'expliquer,
Mais il y eut encore pire
Qui fut que je me suis armé
D'une arme blanche pour le tuer
Lui mon meilleur ami,
Qui reçu plusieurs coups de couteau.
Le sang trempa le lit,
Toi effrayée par moi
Tout me bouillonna au cerveau
Que mon corps se mit à bouger tout seul
Et que l'acte est commis par malheur.
Oui je revois cette scène malsaine
Où tu criais de la douleur à la mort,
Je t'ai fait beaucoup de peine,
Est-ce cela notre sort ? »
Se retournant vers le coffre tout en continuant à rouler
Sans voir la route et se remis à parler :
«Â Maintenant que tu es morte
Avec notre bébé qui nous accompagne
Et lui qui est brûlé mon pote
Plus moi qui est un âne.
Mon dernier mot c'est que je ressens de la haine
Mais au fond je le reste encore que je t'aime ! »
Il entendit le bruit d'un klaxon
Et brusquement il change de direction
Vers un fleuve là où il se noie et meurt.
Tout ceci est horreur
Écrit par Portax
J'ecris des bêtises
Pour en rire Sans que je les relises Ni les réecrires Catégorie : Triste
Publié le 28/05/2009
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Très dur ces poèmes... | |
pichounne |
:) j aime bien | |
atsuko |
L'histoire est bien . J'adore ton sens de l'humour ! En toute amitiée. |
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sofia |