II
qu'on creuse en moi
les entrailles de la nuit ;
seul demeurer
m'est terrible.
qu'on couse
le sommeil sur ma peau
et qu'on nourrisse
la fièvre de mon corps !
*
ce silence est le mien
et je suis seul à mourir ;
infinie
timide tristesse.
Écrit par Poesie nocturne
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Catégorie : Triste
Publié le 01/02/2017
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Commentaires
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Posté le 01/02/2017 à 11:50:31
La solitude n'est pas un vain problème, mais les vers la magnifient. Elle est notre escorte à travers les jours sans pain. | |
jacou |
Posté le 01/02/2017 à 13:56:35
Très beau. | |
suane |