Voilà le vent qui se lève sur cette triste colline, le sens-tu mon amie, ce vent qui souffle sur nos vies, ce vent venu de l'éther, ce secret des cieux qui souffle et qui souffle encore dans une danse invisible, qui se joue de tes cheveux en un soupir silencieux, oui, un murmure que le vent te susurre tel un amant volatile qui tourne autour de toi et te souffle des baisers volés avant de s'enfuir en laissant derrière lui la fragrance des roses, là, voilà le vent qui s'enfuit de cette triste colline, le sens-tu mon amie ce vent qui te tire un sourire, ce vent qui souffle et s'enfuit vers les lumières du lointain où tu sais, là-bas, y'aura sûrement un gamin qui sentira souffler sur son visage la caresse des cieux et la fragrance des roses.
Écrit par Poesie nocturne
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Catégorie : Divers
Publié le 20/06/2015
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Commentaires
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Posté le 20/06/2015 à 20:27:28
C'est un véritable défi relevé que de construire un très agréable poème en prose sur une seule phrase, dans un seul souffle. Bravo ! | |
jacou |
Posté le 20/06/2015 à 21:07:06
Ca fait du bien de souffler hein ? :o J'aime beaucoup. Ca se lit... Tout en douceur, en fait. |
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Dehorian |
Posté le 21/06/2015 à 22:17:10
Merci à vous :D | |
Poesie nocturne |
Posté le 11/11/2016 à 14:01:59
ho! oui ce lit tout en douceur et lentement pour en savourer toute la fragrance des roses... magnifique :) |
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MARIE L. |