Pour que la vérité ne me fasse pas mal
tu la caches derrière un rideau de problèmes
inventés ou réels, la poudre que tu sèmes
sur mes yeux possédés d'un amour si primal.
Au lieu de m'endormir, ce sable vespéral
aiguise mon esprit plus que dans mes poèmes
afin d'oblitérer ces obstacles et schèmes
qui maintiennent mon cœur si lointain de son Graal.
Mais tu n'as pas fêté mes très rares victoires
qui semblent éveiller en toi des ombres noires,
ton angoisse en retour d'un brin de mon bonheur.
Jusqu'à ce dernier jour quand ton âme fâchée
de mes coups à ton voile à la fin l'a lâchée ;
« Ce n'est pas ça, je ne veux pas, j'ai bien trop peur ! »
Écrit par Pierre de Coeur
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Pierre de Cœur Catégorie : Amour
Publié le 06/05/2016
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Commentaires
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Posté le 06/05/2016 à 07:45:48
Une âme tourmentée à n'en pas douter par ce pexte. | |
TANGO |
Posté le 06/05/2016 à 08:01:43
Un sonnet bien tourné, mais votre Muse, qui inspire vos poèmes, vous met à la peine, semble-t-il. | |
jacou |