On a souvent vibré pour ces paysages
Que l'on caressait d'un regard surpris
Et notre souffle embrassait d'un cris
Une vision enivrante, dénuée de rage
Nos corps se sont trémoussés dans les fleurs
Riches de leurs vies où s'acharnent les vices
Les couleurs fusent et jaillissent les délices
Au sein de leurs coeurs s'amassent nos erreurs
Les images frigides survivent à nos désirs
D'un monde figé qui croule sous sa gloire
Et de ces rayons de soleil transparent dans le soir
Tombée d'une nuit où s'esquivent les sourires
Nous voici arrivés devant un horizon inexploré
Derrière nous, la furie a rattrapé notre passé
Et de ces fleurs immaculées
Ne restent que les cendres éparpillées
Je détourne ma tête de tous mes regrets
Les pensées s'inscrivant sur la gravure du souvenir
Qui continue sans cesse de s'enfuir
Et les larmes laissent s'écouler ce que j'ai tant espéré
Les vagues, les nuages assombrissent l'oeuvre
Dans une dernière nuit devenue pauvre
Je m'enfonce dans le noir
Les yeux fermés pour ne pas croire
...
et une voix d'espoir
...
Traverse les nuées de ces mers agitées
Les étoiles ne se voient que de ces berges éloignées
Écrit par Phivos
et la vie monta au ciel et se baigna avec les nuages...
Catégorie : Triste
Publié le 23/01/2007
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un mot MAGNIFIQUE ! | |
MAZBRI |
j'adore déja le titre , alors tu imagines le texte. | |
plustout |
Je trouve ce poeme merveilleux; plein de fantaisie et de rêve! | |
Gabou_damour |