En haut de la colline, où les rayons profus
S'emmêlent par paresse, aux rythmes corrompus
Que les ongles d'adultes aiguisés de passé
Ont marqué de dédain, d'une griffure aisée

Sous le ciel affaibli, se retrouvent les mythes
La raison les attife de rires qui crépitent
Pour que s'oublie l'envie, d'un autre paysage
On nous illusionne de différents nuages!

Mais dans le cœur épris, d'une caresse qui danse
Les sphinx, hydres et géants, doucement nous encensent
De larmes d'histoires, passionnées de folies
Que l'aigri nous cacha, de son œil de mépris