Mon coeur arbore un crêpe noir
Portant le deuil de notre amour,
Il bat encore mais à rebours
Depuis la fin de notre histoire.
Mon coeur depuis est à genoux
Priant les Dieux pour un miracle,
Etant athée ceux-ci renaclent
A l'exaucer, même Vishnou.
Mon coeur se meurt, il agonise
Je l'ai surpris faire sa valise,
D'ailleurs il a pris rendez vous
Sur l'agenda de la faucheuse,
A convoqué quelques pleureuses
Refusera tout interview.
Écrit par PAPY ROBERT
Vous ne pouvez pas empêcher les oiseaux de la tristesse de voler au-dessus de vos têtes, mais vous pouvez les empêcher de faire leurs nids dans vos cheveux. [Proverbe chinois]
Catégorie : Triste
Publié le 23/08/2009
|
Ce texte est la propriété de son auteur. Vous n'avez en aucun cas le droit de le reproduire
ou de l'utiliser de quelque manière que ce soit sans un accord écrit préalable de son auteur.
Poème Précédent | Poème Suivant |
Triste à découvrir... | Poèmes de PAPY ROBERT au hasard |
Commentaires
Annonces Google |
Posté le 23/08/2009 à 14:38:03
Très beau et triste poème aussi :-( j'aime bien ton style ! | |
Auré |
Posté le 23/08/2009 à 15:46:28
Ni fleurs, ni couronnes, je suppose. Mais en attendant, il faut tenter de vivre (et d'écrire!) | |
bernadetteloubert |
Posté le 23/08/2009 à 17:56:08
Très beau, j'aime cette pointe d'humour noir pour un triste et nostalgique coup du sort...Fin d'un amour parallèle de la fin d'une vie ! amitiés Louann |
|
louann |
Posté le 23/08/2009 à 19:12:34
ton poème est très beau papy,malgré la tristesse ,amitiés nicky | |
nicky |
Posté le 23/08/2009 à 20:05:45