La lumière effleurait sa peau, délicate et diaphane,
Tout doucement, d'une main gantée d'ombres légères,
Elle caressait ses jambes, ses épaules, sa nuque,
Et sa tête courbée sur quelque poésie.
Silhouette gracile, alanguie sur un banc,
Femme-enfant, fille-lutine. Posé sur ses genoux
Un gros livre de rêves, de pleurs et de romances,
Faisait briller ses yeux aux reflets d'océan.
Instant trouble, irréel, mélancolique et tendre.
Et j'enviais le soleil enveloppant son corps,
Et j'enviais ce livre entre ses douces mains,
Et j'enviais les mots, suspendus à ses lèvres.
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Commentaires
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Posté le 05/09/2013 à 23:26:07
Olympien. | |
Europe- |
Posté le 06/09/2013 à 00:26:09
Superbe poème plein de grâce et d'élégance. | |
flipote |