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Les châteaux de sable s'ébouriffaient au vent redoublant.
Une mère, les pleurs à la gorge, s'accrochait
Désespérément à la plage, engloutie lentement
Par les vagues. Il faisait nuages, il faisait frais.
Il fait grand beau, il fait chaleur,
Et les vastes étendues se réveillent en tisons.
Le fils au teint d'eau claire distrait sa douleur
En cherchant dans les dunes des prémices d'illusions.
Écrit par Ole Touroque
http://badurkax0.blogspot.com
Catégorie : Divers
Publié le 15/05/2008
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Commentaires
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Posté le 15/05/2008 à 15:17:39
Beau poème. | |
pichounne |
Posté le 15/05/2008 à 15:33:04
Superbe poème!!! | |
Michka |
Posté le 15/05/2008 à 15:41:52
Très beau!^^ | |
lo |
Posté le 15/05/2008 à 23:09:28
Tristesse dans ce magnifique poème ! | |
Ange de Lumière |
Posté le 16/05/2008 à 08:31:20
"La plage était déserte et pleurait sous juillet ..." | |
Nighty |