Toi, soleil qui rempli son cœur de joie
Et l'a ramené lundi à 18h33.
Pourquoi en quelques heures n'as tu brillé
Que dix minutes : "Six cent secondes, ma foi !"
Pourquoi l'avoir fait pleurer Ce doux regard que tu aimes ?
Ne sais-tu pas Qu'elle a besoin de sécher ses larmes ?
Pour cela, ce ne sera pas toi.
18h43, lorsque le soleil la quitte.
L'orage tombe sur la ville, la tempête est dans son cœur !
Le soleil n'est pas là pour sécher ses larmes,
Mais lui a appris, qu'elle était vivante,
Puisque sa chaleur l'avait fait revivre "L'espace d'un instant."
Maintenant, il faut dire:
"Le soleil va là ou il croit pouvoir briller"
Mais ce dont personne ne sait encore,
"C'est qu'elle l'a vu."
Et dans les yeux et son cœur "Toujours il restera."
Le soleil l'a brûlé ; Les rayons l'ont bruni.
Et l'a serré fort dans les bras.
Puis elle a dansé, rit pleuré et chanté.
D'autres personnes auraient baissées les bras !
Pas Elle ! Elle vole ! Tu lui as donné des ailes !
Sans doute, est-ce pour cela,
Que ce soleil vient et va.
Il attend sans le savoir
Un autre soleil qui n'existe pas.
Écrit par Odile sire-hervieux
Un bon sourire est encore ce qui sèche le mien les larmes...
Catégorie : Amitié
Publié le 29/06/2009
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Je m'en excuse mais je pense ne pas avoir saisie le sens profond, toute fois j'ai aimé " Le Soleil va là où il croit devoir briller" Amitié. Petit Coeur. |
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Petit Coeur |
Merci à la personne qui a apporté une petite retouche à ma poésie qu'il me fasse signe. | |
Odile sire-hervieux |