Par un oubli amer j'ai croisé ta chevelure,
au sain des regards indignes.
Par un refus étrange t'as pris sur moi un suivi hostile,
brisant ma ligne.
J'ai couru désespérément cherchant ton visage,
hélas t'as vendu mon âme.
Pondue j'étais, au passagers je lançais des rives,
implorant une trame.
Je suis devenue l'ustensile d'un siècle obscur
il ne faillait pas que t'admires.
Avec tes pièces d'or, un matin j'ai reçu une blessure,
si douloureuse en rires.
Une esclave fut traversée la cour les yeux bondés,
j'ai su lire sa pensée curieuse.
Le fils boita, ailes blessés saignant un amour assombri,
par la peau d'une mère lumineuse.
Tous devins mensonges,
ton amour était qu'une pièce majestueuse
De grâce ne traverses pas la rivière
sous une lune pleurant tes soupirs.
Écrit par OceanSoul
L’amour ou l’horreur je nage dans le malheur
Catégorie : Amour
Publié le 07/06/2013
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J'adore particulièrement la dernière strophe. | |
Marouette |
L'amour, la tristesse, ce qui nous pousse à écrire nous poètes et je t'inclus dans le nous, c'est l'amour du beau, de l'esthétique, cette nécessité que l'on ressent de créer quelque chose que l'on pourra contempler, bonne jounrée ! GTBT | |
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