Tendrement on s'était quitté,
Doucement tu t'es envolé.
Tes ailes tu as déployées
Exilée dans l'infiniment grand.
D'un croissant tu as fait ton berceau,
De quelques étoiles ton manteau.
Et quand la tristesse te prend,
Quelques gouttes de rosée
Sur tes pâles joues viennent se loger.
Mais quand le chemin du sourire a regagné ton visage,
Un rayon de soleil nous inonde,
Nous pauvres mortels dans notre monde.
Il nous arrive de croire t'apercevoir,
Mais ce n'est qu'un mirage,
Tes traits sont abstraits :
On ne voit pas l'ivoire.
Moi je t'imagine en secret
Te cherche dans mon miroir,
Juste histoire de croire que tu te souviens de moi,
Que toutes les deux nous ne sommes pas si loin.
Le firmament nous sépare
Toi et moi, deux âmes éparses.
Écrit par Nothing
Sur les ailes du temps la tristesse s'envole.
Catégorie : Divers
Publié le 08/03/2007
|
Ce texte est la propriété de son auteur. Vous n'avez en aucun cas le droit de le reproduire
ou de l'utiliser de quelque manière que ce soit sans un accord écrit préalable de son auteur.
Poème Précédent | Poème Suivant |
Divers à découvrir... | Poèmes de Nothing au hasard |
Commentaires
Annonces Google |
Posté le 08/03/2007 à 19:49:24
magnifique poème Nothing, la mélodie des mots me font rêver. J'aime beaucoup beaucoup, j'aime les poésies qui me font rêver, et là c'est réussi. | |
psychomelody |
Posté le 08/03/2007 à 19:55:28
Merci beaucoup. | |
Nothing |
Posté le 07/05/2007 à 20:46:07
très beau. | |
MAZBRI |