Pantin du destin,
Assis je parle les yeux criblés de rêve,
Là où le cœur vit d'espoir noir mêlé de sang,
Abat un aveugle d'une balle dans l'oeil,
L'ahurissement du vice me paraît plus vrai que la virginité d'une femme,
Comme de flotter dans un ventre inondé d'alcool, étranglé au cordon,
Pendu par la raison je les observe, Dieu m'a maudit d'un coeur,
Marchons, buvons, parlons de ce que nous ferions,
Pourvu que nous soyons pourvues de vue qui fuyait,
J'ai bu, j'ai vu, je n'ai rien vaincu car il n'y a rien,
Hérésie poésie à quoi bon, dansons le chant des cygnes,
Promenons-nous dans la rue tant que les flics n'y sont pas.
Écrit par NoName
en buvant le fond d'une bouteille de coca ( mes freres me laissent toujours le fond ) je me suis mis à penser que la vie ressemble souvent à cette bouteille de coca, qu'il ne valait pas mieux rester au fond sinon personne n'en voulait
Catégorie : Amitié
Publié le 05/02/2014
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